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GIANNI’S GANG OF SUPER TOP MODELS
Le coup d’éclat de Donatella Versace à la Fashion-Week printemps été 18 !
Carla, Claudia, Naomi, Cindy, Helena – réunies dans un vibrant hommage au couturier disparu –
ont su porter haut l’héritage de la maison Versace et la mode des années 90.
Une fois de plus, la magie éblouissante de la maille métallique a fait renaître le luxe des ors et la sensualité des corps. En 1982, le couturier a l’idée d’une matière qui donnerait l’illusion que celle qui la porte est couverte de métaux précieux liquides. C’est ainsi qu’il crée, en collaboration avec un artisan allemand, cette matière exceptionnelle réalisée à partir de l’assemblage de petits disques de métal attachés en 4 points à une maille. Conçue pour combiner la souplesse de la soie et la texture du métal, l’Oroton donne ainsi l’impression que le corps est paré d’or en mouvement. Une fascination assumée du couturier pour tout ce qui brille – Ravenne et Byzance n’ont cessé de l’éblouir –, et pour la sensualité vivante du corps humain au plus près de l’idéal antique.
En plus d’avoir créé une matière absolument unique, Versace se fera prodige en la travaillant comme n’importe quel autre tissu, faisant fi des difficultés de montage. Ultra fluide, coloré ou doré, et modelé au moyen de savants drapés, l’Oroton enrobe le corps en douceur tout en donnant aux femmes le pouvoir ultime de la beauté.
Devenue une pièce iconique, la robe Oroton sera déclinée en de grandioses robes de soirées – le plus souvent ultra-longues et ultra-décolletées – ou bien sous la forme de tuniques drapées au tombé impeccable.
Les années culminantes de la collection Automne-Hiver 1994-95 voient apparaître l’imprimé léopard sur le haut des robes, sous la forme de bustiers ou de bretelles comme dans cette robe du soir exposée au Metropolitan Museum of Art de New York en 1997 ou comme dans la robe du soir que nous présentons.
Gianni Versace Robe du soir, collection automne-hiver 1993-94, chez Renaissance 14, rue de Beaune 75007 Paris.
« As always, Versace offered himself challenges in dressmaking, absorbing what had begun as simple, boxlike rectangles of metal mesh into the soft drapery of a style that equivocated between the 1920s and classicism.
If the wet drapery of classical sculpture could be emulated by the languorous jerseys and silks of the 1920s, then why not try to render the style in the metal mesh that Versace deftly took into a process of draping?” Martin Richard, Gianni Versace, published by Metropolitan Museum of Art (1998), pp.66-67.